Une carrière en exploitation - © Ville de Clamart
La briqueterie Queue de pie - © Ville de Clamart
L'effondrement des carrières en 1961 - © Ville de Clamart
Une carrière en exploitation - © Ville de Clamart
La briqueterie Queue de pie - © Ville de Clamart
L'effondrement des carrières en 1961 - © Ville de Clamart
L’exploitation de ces différents minéraux peut s’effectuer de trois façons différentes. À ciel ouvert pour les matériaux à fleur de terre, par galerie à flanc de coteau ou encore en creusant un boyau dans la roche, à droite et à gauche. Avec cette dernière méthode, on soutient le banc supérieur avec des piliers ou à l’aide de boisage et on atteint le banc inférieur de la carrière par l’ouverture d’un puits qui permet de creuser les galeries dans toutes les directions.
S’exportant dans toute la région, la pierre de Clamart alimenta notamment la restauration du château de Savigny-sur-Orge et en partie celle des toitures en pierre du château de Vincennes. La réfection du Parc des Sceaux, entre 1930 et 1933, fut sans doute l’apogée des carrières de Clamart. Les escaliers, les paliers, les margelles du bassin de l’Octogone, les socles des groupes de cerfs ainsi que la construction intégrale des cascades avaient alors été entreprises. La pierre de Clamart servit également à paver les rues de Paris.Carrières de sable - © Ville de Clamart
Carriers à Clamart - © Ville de Clamart
Grand écrivain et journaliste, Emile Zola vient à plusieurs reprises loger dans un hôtel à Clamart. Il y rencontre des ouvriers qui l’inspireront pour ses romans.
Ingénieur aéronautique et aventurier, Gaston Biot réussit à planer à plusieurs reprises dans la carrière de sable de Beauséjour sur la colline des Galvents.